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Il faut sauver Duralex !
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Il faut sauver Duralex !

Ce cas est un exercice d’analyse de « gestion de crise » centré sur les dimensions humaines et managériales des défis organisationnels. Il permet d’introduire un statut spécifique de société : la SCOP. L’histoire centenaire de Duralex, fleuron de l’industrie verrière française, véritable success story, offre un terrain d’étude pertinent pour examiner comment les enjeux de ressources humaines et de management sont au cœur de la capacité d’une entreprise à traverser des crises et à se transformer. Ce cas met en lumière comment les décisions managériales et les pratiques RH peuvent soit exacerber les crises, soit contribuer à les surmonter. Il souligne l’importance cruciale du facteur humain dans la gestion du changement et la pérennité de l’entreprise. En découvrant les différentes phases de l’histoire de Duralex, de son âge d’or à ses périodes de turbulence, jusqu’à sa récente transformation en SCOP, les étudiants découvriront les multiples facettes du management en situation de crise. Ils seront invités à réfléchir sur les compétences de leadership nécessaires pour naviguer dans des environnements incertains et sur les stratégies RH permettant de maintenir la cohésion et la performance d’une organisation en pleine mutation.

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Cette vidéo présente les travaux de Quentin Plantec (TBS Education), menés avec Pascal Le Masson et Benoît Weil (Mines Paris – PSL), sur un enjeu stratégique : repenser les relations entre science et industrie à l’heure des grandes transitions. À partir de l’ouvrage Science et industrie à l’aune du double impact, elle introduit un nouveau modèle de collaboration : le couplage à double impact simultané. Rompant avec la logique de transfert linéaire, ce modèle propose une co-émergence des percées scientifiques et des innovations industrielles. Fondé sur la théorie C-K et illustré par des cas emblématiques (prix Nobel, ARPA-E, CIFRE…), il souligne les conditions de cette dynamique : indépendance, échanges intenses, et complémentarité des logiques. La vidéo propose ainsi une nouvelle lecture des relations science-industrie, au service d’un impact à la fois scientifique et sociétal.
PLANTEC Quentin - TBS Education |
La taxonomie des compétences cognitives du World Economic Forum (WEF) s’inscrit dans le cadre de son initiative « Révolution des qualifications à l’horizon 2030 ». Ce projet souligne l’importance croissante des compétences cognitives pour les entreprises et distingue plusieurs grandes catégories : compétences, connaissances, aptitudes et attitudes. Les compétences cognitives se répartissent en trois catégories principales : créativité et résolution de problèmes (pensée analytique, systémique, créative), mathématiques et pensée statistique (calcul, estimation, modélisation), et communication orale et écrite (lecture, rédaction, langues étrangères). Ces compétences sont intégrées dans les formations doctorales et DBA grâce à une pédagogie par l’action visant à améliorer la prise de décision.
THION Stéphane - TBS Education |
Dans un monde complexe et incertain, les décisions sont souvent biaisées par un excès de confiance, des erreurs de jugement et une mémoire influencée par la désirabilité des résultats, selon John Sterman. Inspirée des travaux de Forrester, la pensée systémique permet de comprendre comment les éléments interagissent au sein d’un système global, plutôt que de les traiter isolément. Elle aide à éviter les effets secondaires imprévus et à trouver des solutions durables. De plus en plus prisée par les entreprises, elle est enseignée dans certains doctorats et DBA pour préparer les décideurs à mieux appréhender cette complexité.
THION Stéphane - TBS Education |
Le monde évolue rapidement avec l’explosion des connaissances, de la technologie comme l’IA, et la désinformation. La prise de décision devient complexe, exacerbée par des biais cognitifs identifiés par Tversky, Kahneman, et Hogarth. La pensée analytique, qui décompose les concepts complexes en principes fondamentaux, est essentielle. Selon le World Economic Forum, c’est la compétence la plus demandée par les grandes entreprises. Elle inclut la pensée critique, qui analyse, interprète et évalue des faits. Les formations doctorales et DBA sont les meilleures pour l’acquérir et la mettre en pratique.
THION Stéphane - TBS Education |

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Gérer les hommes et les femmes comme des ressources n’est ni acceptable, ni efficace. Pourtant, dans la plupart des organisations, le management des personnes et du travail demeure ancré dans des modèles de GRH et de comportement organisationnel développés au siècle dernier qui ne permettent guère de prendre en compte la transition sociale majeure que nous vivons. Le Management Humain constitue une alternative au modèle instrumental et financiarisé qui domine la gestion des organisations aujourd’hui.
TASKIN Laurent - IAE Lille |
DIETRICH Anne - IAE Lille |
Le Contrat psychologique (PCO, Psychological Contract in Organizations) est une théorie et une méthode qui permet de mieux comprendre pourquoi, face à un même événement, certains percevront une violation contractuelle et d’autres, un simple ajustement. Fondé fin 1990 aux Etats-Unis, ces travaux en comportement organisationnel se développent dans les pays francophones à partir de leur traduction/adaptation en 2015. Le PCO décrit la complexité et la varité des engagements organisationnels : il est idiosyncrasique (personnel et biographique) mais aussi normatif, c’est-à-dire partagé par plusieurs individus dans une profession ; il est relationnel lorsque l’enjeu vise absolument à maintenir l’engagement ou à l’inverse purement transactionnel. Face aux problématiques de RSE (responsabilité sociétale des entreprises), respecter et gérer ces formes d’engagement contractuel améliorent la vie organisationnelle.
DE ROZARIO Pascale - LIRSA-CNAM |
Cette vidéo définit la notion de productivité et ses modes de calcul. Elle présente également les limites de cet indicateur.
BERNIER-KHEDACHE Salomon - IAE Paris-Est |
DESCHAINTRE Stéphane - FNEGE |
Il semble que certains aspects de l'expérience des salariés puissent les amener à perdre confiance dans le système de l'emploi rémunéré. Cette désillusion peut être étudiée et mesurée par le biais du construit théorique d'une brèche du contrat psychologique de l'employé. Cet article exploratoire examine donc si les conditions de l'emploi salarié peuvent conduire à une nouvelle dimension des ruptures de contrat psychologique : une rupture avec l'emploi salarié lui-même qui pourrait conduire à l'emploi indépendant. Les résultats de l'étude montrent que les conditions de travail influencent les ruptures de contrat psychologique dans différentes dimensions. Les auteurs proposent une dimension de rupture de contrat psychologique liée à l'emploi rémunéré, qui peut conduire au choix de quitter l'emploi rémunéré et de devenir indépendant. Les auteurs confirment également l'importance des conditions de travail en tant qu'antécédents des ruptures de contrat psychologique.
OTTMANN Jean-Yves - FNEGE |
BORNARD Fabienne - OMNES Education |
ABORD DE CHATILLON Emmanuel - IAE Grenoble |

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